LA PLUS BRITANNIQUE DES FRANÇAISES

Rêver, ce n’est pas attendre, mais chercher à atteindre son but envers et contre tout, nous dira-t-elle. C’est la force de l’esprit qui fait avancer dans la vie, gagner du terrain, se battre, lutter contre les éléments et contre vents et marées, c’est le Leitmotiv de cette bretonne au caractère bien trempée.

Sa vie est une succession de bravades où tous les jours, elle remet sur le métier, et efface son ardoise pour un nouvel exercice inlassablement pour convaincre. Pour lire plus cliquer ici

DANS LE SILENCE DU CRI DE LA SOIE

Le mot « bêtise » est polysémique, une exception culturelle française, peut-être ! Et bien que la création artistique constitue le dernier chapitre de l’expérience émotionnelle humaine, c’est la fin d’un monde qui s’estompe peu à peu de l’espace de nos vies.

Cela a commencé, il y a déjà bien longtemps, par nos droits à se soigner, que les politiques veulent nous supprimer totalement. Nous sommes, aujourd’hui, dans les mains de mutuelles qui augmentent toujours leurs prix pendant que l’État diminue sa participation à nos remboursements. Et cela, dans un silence assourdissant, le droit de se soigner gratuitement disparait lentement. Pour lire plus cliquer ici

VALENTINO PAR MICHELE

Pour obtenir une invitation pour le défilé d’Alessandro Michele pour Valentino, c’était aussi difficile que de trouver un masque FFP2 pendant la pandémie. Nonobstant, c’était l’événement, le plus attendu de la semaine, pour ses débuts avec la marque Italienne. Si j’ai attendu si longtemps pour donner mon opinion, c’est que j’avais besoin de donner les mots justes. Pour lire plus cliquer ici

H&M LA CULTURE DU PAUVRE

Les voies du seigneur sont impraticables, c’est probablement pour cela que H&M ouvre les portes d’un nouveau pop up dans le Marais jusqu’en décembre 2024 ! L’enseigne suédoise, qui vend des produits de la fast Fashion, vient faire un pied de nez à la Fashion Week de Paris. Elle investit un espace de 850m² sur deux étages, pour y installer son laboratoire de la mode. Au programme : la collection Automne/Hiver, des capsules pointues, et de la seconde-main dans une scénographie immersive et futuriste entièrement rouge pour riches exclusivement. Le pauvre, c’est fini. Maintenant, que ceux-ci vous ont rendu riche, vos ouvriers d’abord, et ensuite vos clients qui achetaient vos produits de « l’an pire  » du Milieu. Pour lire plus cliquer ici

LA VÉNUS DE MICMAC RICCI

Après les colombes de Lalique, et l’affreuse série « Les Belles de Nina », sorte d’étron multicolore  couronné ; voici une nouvelle féminité, qui émerge chez l’espagnol, inspirée de la mythologie, en écho au patrimoine de la maison ! Inventer une déesse contemporaine d’aujourd’hui, mais celle-ci sera certainement une bimbo déambulant dans les couloirs des hôtels de la capitale, « c’est l’air du temps ». Une fragrance où le Magnolia rayonne tel un véritable bijou, et pour l’histoire…., les magnolias sont apparus avant les coléoptères, et bien sûr, la baronne Wildenstein, car des spécimens fossilisés ont été retrouvés et dateraient de 20 millions d’années avant sa première opération inesthétique. Pour lire plus cliquer ici

UNE AUTRE VISION DE LA FASHION WEEK

Qui rendra compte que la Fashion Week de ces derniers jours pourrait prendre une autre dimension, sorte de vie avec des ailes pour une semaine, tel Icare, fils athénien de Dédale et Naupacté. Voici donc le regard des photographes Sophie et Caroline Moisan qui capture les instants précieux de toute une génération. Car lorsque le jour s’estompe, et au travers des gouttelettes de pluie, elle sublime une clarté qui parfume l’âme, et lustre le paysage d’un flou si artistique, que finalement tout s’éclaire. Pour lire plus cliquer ici

SANS TITRE DE NOBLESSE

J’ai fait l’autre nuit un véritable rêve éveillé, où l’homme le plus riche de France, notre seigneur à tous, devenait le patron de la France. Il avait mis comme Premier « sinistre », l’homme de Tolède aux Finances et à la décroissance de l’industrie de la mode, P. Marrant, garde des « sots », et il y a du travail, et le petit Page au développement Durable des « cana bis » comme dirait Dorothée. Le Papel Williams, Ministre des Affaires très très étrangères et à l’alliance « Wintouriene », et enfin, le Flock Fringant, Ministre des caprices de la culture et du détricotage de la profession. Pour lire plus cliquer ici

BALMAIN BIMBO ET LA SÉNESCENCE

Quand Brigitte rencontre Cardi B au défilé Balmain, une guerre entre le faux et la sénescence pendant que son mari à l’ONU tente de faire respecter la paix ; improbable mélange de la maîtresse d’école ayant épousé son élève à côté de la vulgarité incarnée. Cardi B nue sous son manteau en fourrure vert, la rappeuse américaine bling-bling toise la première dame qui lui dit « vous êtes très belle ». L’autre interpréta ce silence d’une autre façon. En fin de compte, le silence aussi leur avait échappé. Pour lire plus cliquer ici

BALENCIAGA VERY NEGLIGEE

Demna devrait faire taire les détracteurs qui se plaignent qu’il n’a pas de nouvelles cordes à son arc. Avec sa collection printemps 2025 pour Balenciaga, elle s’est ouverte avec une série de looks de sous-vêtements : soutiens-gorge en trompe-l’œil, jarretelles et bas brodés, incrustés ou tricotés en jacquard sur des bodys couleur chair. Ces looks le placent en plein dans la tendance lingerie qui balaie les défilés européens, mais avec sa signature hardcore unique. Pour lire plus cliquer ici

VUITTON LE GOTHIQUE MOYEN ÂGEUX

Avec un patchwork de malles en guise de podium, nous avions pensé que Nicolas faisait ses valises, lui qui a transformé la malle emblématique de Vuitton en « Chiquito » pour bimbos de supermarché. Hier, j’ai vu un monde étrange, celui de l’empire irréel de l’irrationnel, aux confins du domaine de la nuit, d’une maison plus que centenaire.  J’ai vu un monde ancien, reflet flou du passé, et foire aux souvenirs qui ont jailli des flots d’un chemin de valises. Pour lire plus cliquer ici

CHANEL LA CAGE AU MOCHE

Retour dans le lieu historique du Grand Palais pour la maison Chanel, et après la fusée de Karl, voici la cage aux oiseaux sans déficit de perruches. C’est bien une idée grandement éculée qu’on refait afin de reproduire la publicité de Jean-Paul Goude qui avait mis Vanessa Paradis dans une cage pour le parfum mythique de la marque, un poncif très « cuit cuit « . Pour lire plus cliquer ici

HEARST PARIS 2025

D’origine cubaine, cette étoile montante, « de la mode, qui ne progresse jamais », propose un rien que deux, tu l’auras. La créatrice uruguayenne-américaine, dont les collections sont souvent inspirées par des […]

SCHIAPARELLI LA ROSE BERRY POURPRE DU CAIRE

Depuis qu’il a pris la direction artistique de Schiaparelli, Daniel Roseberry a conquis les Français par ses collections de haute couture spectaculaires. Il espère désormais conquérir les portefeuilles avec une gamme de prêt-à-porter et d’accessoires d’une marque en pleine expansion.

Longtemps, les présentations étaient exclusivement présentées dans le salon historique de la place Vendôme ; la marque appartenant à l’entrepreneur italien Diego Della Valle dont le grand-père cordonnier fera de son fils un industriel de la chaussure qui devient la marque Tod’s. Le petit-fils récolte donc les bienfaits de ses ancêtres.  Pour lire plus cliquer ici

SAAB DANS LA LUEUR DE LA FEMINITÉ

Charme, élégance, grâce avec une apparente douceur, pour une sensibilité sucrée comme le miel du Liban. Dans un savant mélange, elle émane dans la salle ces robes de princesse dont le couturier imprime son empreinte et s’inscrit dans la lignée des plus grands créateurs en laissant à la mode un immense héritage de finesse. Pour lire plus cliquer ici

URBAN BAKERY SEBAS-TOPE

Le café boulangerie, n’est-ce pas la modernité d’une nouvelle tendance, comme les cafés littéraires d’autrefois à Vienne ou à Paris ? celui-ci véhicule une certaine idée du monde et du sujet qui l’habite. Les terrasses sur le boulevard Sébastopol ne sont pas toutes à recommander, mais celle-ci est assez sympathique pour y faire une halte. La « Urban Bakery », sorte de nouveau concept où l’on peut se substanter et boire un café à toute heure. Ambiance Fashion Week Parisienne, avec un nombre de gâteaux impressionnant, une très bonne surprise dans ce 1ᵉʳ arrondissement qui s’embourgeoise peu à peu. C’est joli, inventif et bon, on en redemande. Pour lire plus cliquer ici

YAMAMOTO YOJI PARIS

L’homme est discret, de cette discrétion que les Japonais cultivent pour en faire leur marque de fabrique. Ses présentations sont toujours très fréquentées, car il habite là où ses clients « bobo » habitent. Pour lire plus cliquer ici

JAVIER PAS LES CODES

Le baroque fait son apparition en France à la fin du XVIe siècle et repose sur le principe de l’exagération. Ce mouvement concerne la peinture, l’architecture, la musique et même la littérature, avec des auteurs comme Corneille, ou encore Shakespeare. Ce mardi 24 septembre, au sein de l’espace Niemeyer, « le mec qui a construit Brasília » me dit ma voisine m’ayant pris pour un aficionado de la fashion inculte et Céphalo-abstinent, filtre à intelligence du Marrant. Le petit Luis présentait son premier défilé à la Fashion Week de Paris. Il lui aura fallu cinq ans et « on comprend cela.  » Quel tailleux ! »Pour lire plus cliquer ici

CHLOÉ JEU SET ET MATCH

Assis dans ce salon de ma mémoire, j’invite mes morts à danser, car je dispose, à « podium montant », de plusieurs kilos de couturiers avariés pour un retour à l’expéditeur. Et malgré cela, parfois, c’est la fraîcheur de la jeunesse, le paradis où l’angoisse est désir. C’était ce matin chez Chloé, sans fanfaronnade, avec quelques clins d’œil, style renaissance. J’aime toujours mieux me souvenir du passé pour jouir de l’aurore, bien que l’un soit parfois un superbe oubli, mais l’autre reste réel. Pour lire plus cliquer ici

COURREGES LES COULEURS DE L’INVISIBLE

Voici donc Courrèges au Temple et qui restera probablement sur le quai des désirs de l’obscurantiste a la Wintour, lunette noire pour ride blanche qui veut nous faire prendre le virage de la mort tout feu éteint. Au centre, la collection de Nicolas Di Felice, « le cafés Belgeois » qui veut nous prendre pour des gaufres, comme la bimbo à mes côtés qui me susurre à l’oreille : « Je suis helléniste en autodidacte, et mythomane, en auto-entrepreneuse ! » Pour lire plus cliquer ici

YSL LE LABYRINTHE DU LUXE

C’était au centre du Champs de Mars, là où il y a habituellement les vendeurs à la sauvette de Tour Eiffel dégagés par la police pour la circonstance. La manière dont Vaccarello a stigmatisé ce changement de lieu ou de mieux, c’est de revenir au style du fondateur de la maison. Collection instinctivement intelligente, pour une plongée dans le cerveau du maitre d’Oran. Malgré tous les défis auxquels l’industrie du luxe est confronté, le groupe Kering vient de comprendre que, outre la communication, le plus important est de vendre dans les boutiques. Pour lire plus cliquer ici

DIOR AMAZON PRIME

Diane est la déesse de la chasse, de la guerre et de la nuit dans la mythologie romaine, assimilée à « Artémis » dans la mythologie grecque. Artémis, tiens tiens drôle non ! Fille de Jupiter et sœur jumelle d’Apollon, elle souhaite rester vierge à perpétuité, et quand la beauté fait son lit, sublime, toujours seule, elle bâtit sa renommée à côté des hommes, mais étrangement à l’écart aussi.

Celui qui invente, au contraire de celui qui découvre, ajoute aux choses, et la Maria Chiuri, pour une fois, met un zeste de féminité sans rien inventer. Amazone chasseresse pour mettre en plein dans le mille, mais chez le seigneur, c’est dans le mille milliards de « bollard ». Pour lire plus cliquer ici

FASHION LES RACINES DU FIEL

Seul devant ma page blanche, me voilà comme un industrieux des mots, laconique comme un écho qui ne réfléchit plus. Ce matin-là, je pointais au rituel de la Facebook mania dans la plus célèbre ville de Lombardi, et j’attendais tranquillement que le génie de l’écriture vienne me chatouiller les méninges. C’était le début de la Fashion Week de Paris, et je quittais Milan pour la capitale de la « ‘Reine Magot » dans l’avion privé de François-Henri, merci mon prince. Pour lire plus cliquer ici

GUCCI LE DUC DE GÊNES

Il est vrai qu’après le diable Alexandro Michele, qui s’habillait en Nada, le pire ne pouvait pas être encore plus profond chez Gucci, mais cela suffira-t-il à enthousiasmer les millennials qui consomment du luxe sur un marché en déclin ? Pour lire plus cliquer ici

PRADA NO COUNTRY FOR OLD MIUCCIA

L’homme, qui n’aimait pas les femmes, continue sa villégiature en venant imposer son non-talent chez Prada. Voici l’histoire des mille loupés de celui qui n’aime pas les femmes. Il est comme La Fontaine : sa couture est affable, mais avec le seul examen qu’il a, à son actif, dans la mode, c’est-à-dire ses analyses d’urine, ils ne peuvent pas lui en demander plus.

Cet ascète ambitieux de la fashion sphère, qui avait malmené la marque Dior en son temps, ce ‘Politico-médiatique’ hétéroclite et sans véritablement talent, reste l’ombre de Miuccia Prada. Désir de mouvement et d’énergie, sans pouvoir l’atteindre, il joue avec les confettis et redessine les modèles d’antan des années 70. Pour moi, entre la guillotine et le travail de Raf, je préfère toujours la guillotine. Pour lire plus cliquer ici

LE SELFESSE DE LA FASHION WEEK DE PARIS

Paris se transforme et les bimbos commencent à pulluler dans la capitale. J’en ai même vu une au golf qui ne jouait pas, mais elle se prenait en photos juste pour dire :  » je suis une bimbo qui cherche le trou ». Voici donc la Fashion Week de Paris et la capitale regorge d’attachées de presque, ainsi que de jeunes bimbos adulescentes cosmopolites qui gravitent autour des maisons pour influencer les béotiens de ce métier. Elles sont parfois plus connasses qu’influenceuses. Rédactrices en chef de grands magazines qui n’existent pas, elles écrivent avec une plume de « Palm », pleine de vulgarités, car celles-ci sont trempées dans la fange avec la canaillerie pour des « Selfesses » de circonstance. Pour lire plus cliquer ici

LUXE SEPT MORTS PAR ORDONNANCE

Le seigneur des Arnault, à la tête du numéro un mondial du luxe, a signifié aux cadres du groupe une « interdiction absolue de parler  » à sept média, dont Mediapart, Le Canard Enchaîné, La Lettre, Glitz Paris, Miss Tweed, Canal-Luxe, L’Informé, Puck (US), ainsi que  » toutes les autres lettres confidentielles ou pages webs du même type qui existent « . Une liste noire dans un courrier interne datée du 17 janvier.

Pour moi, la maxime de Machiavel dans « Le Prince » : « Il est plus sûr d’être craint que d’être aimé ». C’est une tirade que je mets souvent en pratique. Car la force et le modèle stratégique des groupes de luxe deviennent insupportables par leur manipulation des réseaux sociaux, et la désinformation qu’ils opèrent, tout cela mixé dans un faux ADN de rapprochement avec les extrêmes écologistes, pour imposer un modèle qu’ils ne suivront jamais, et qui, par la vision de l’Afrique détruit, devient de plus en plus grotesque. Pour lire plus cliquer ici

DIMITRA PETSA

Une expérimentation du faux et une inélégance distincte se rapprochant du néant de la créativité. Une égocentrique qui, par sa misérable vision, rafistole les vêtements avec le fils d’Ariane, mythe de Thésée et du Minotaure. La créatrice grecque, Dimitra Petsa, explore la relation éco-féministe entre les femmes et l’eau, en oubliant le feu de la Grèce, c’est ballot ! Pour finalement produire cette haine sournoise et basse des âmes qui vous pousse au ridicule du geste couture, et ayant l’outrance de s’appeler « couturière ». Des mannequins « femelles » enragés, non par nature, mais par entraînement, sorte de vocifératrice professionnelle où son verbiage couture la conduit directement aux latrines de la popularité. Pour lire plus cliquer ici

BURBERRY LE CHECK OUBLIÉ

Le motif « check » Burberry, de son nom en anglais, a été utilisé pour la première fois dans les années 1920 sur des manteaux de pluie. Toutefois, c’est dans les années 60 qu’il est devenu l’icône que nous connaissons aujourd’hui. Difficile de sortir du code emblématique de la marque, car les carreaux « Burberry » reconnaissables entre toute autre chose sont l’ADN de la marque. Pour lire plus cliquer ici

JW ANDERSON AND CLIVE BELL

Cette collection JW Anderson est jeune, dynamique et amusante, articulée autour de coupes simples, d’imprimés en trompe-l’œil et de protubérances en forme de tutu, il faut bien trouver quelque chose ! Les mannequins ont traversé une salle voûtée de lumière, passant entre des rangées de sièges cubiques blancs, ils sont chaussés de bottes basses en cuir mouchetées à fermeture Éclair, qui ont fait un tabac, mais à ne pas fumer. Pour lire plus cliquer ici

LAQUAM SMITH 2025 NEW YORK

Un monstre poétique, sorte d’animal qu’on appelle généralement : « mon ange », c’est-à-dire une femme avec un mari enchaîné à sa femme légitime, comme une bête, et regardant avec envie le menu qu’il n’aura jamais. Voilà le bref résumé de la collection de Monsieur Smith.

Inspiration du printemps 2024 avec ces mini-jupes et crop tops, dans un style taille d’un timbre-poste vinyle et cuir, comme le Russekoff de Saint-Tropez 1970. Ce retour en arrière par Smith est devenu un succès viral sur la « toile » avec sa touche de chic néo-BCBG pour une féminité à tous les étages. Pour lire plus cliquer ici

PARFUM HERMÈS ET COLLIER DE CHIEN

Un parfum qui triche sur sa conscience, pour vous emporter dans son enfer par une petite porte plus masquée que musquée. L’iconique bracelet « Collier de Chien » de la Maison Hermès inspire le flacon d’un parfum à son image, « wouf, wouf » ! J’ai déjà décrit bien des pages de cauchemar, et tripoté l’horrible souvent, mais il est vrai que l’oraison du plus mort est toujours la meilleure. Lorsque Hêra revenait des Enfers de l’Olympe, c’est Iris qui la purifiait avec des parfums, dans « la rhume antique » aurait dit ma bimbo, une peau de vache certainement cette Barénia. Pour lire plus cliquer ici

PRIX LVMH CUILLÈRE OU SOUPE

Jury de sectaires, sans culture mode, qui discourent à propos de tout et de rien sur le sexe des anges, et les deux ans éreintant de la « Bur Qui ? ». Des jurys de non professionnels pullulent et nuisent à cet art qu’est la couture. Ils font redéfinir par d’autres incultes à la fois Œdipe et Sphinx pour se torturer à miner un marché qui ne croit que par croissance organique. Ils sont toujours en inhibition de leur propre impuissance à choisir la bonne personne. Pour lire plus cliquer ici

UN INFLUENCEUSE MATIÈRE FÉCALE

Une femme Fécaloïde, et pour ceux qui me lisent, une bimbo qui se nomme Matière Fécale ! Incroyable non ? Voici donc la lettre scatologique de Madame Palatine, belle-sœur de Louis XIV, arrière-grand-mère de Marie-Antoinette ! Ainsi, vous pourrez imaginer que les textes scatologiques ne sont pas uniquement réservés à cette nouvelle génération. Pour lire plus cliquer ici

UNE CORYNITE CE COLIBRI

Souvent le hasard est le travestissement favori du destin, car après avoir réservé dans un restaurant qui était fermé, le sort  nous a menés au « Colibri ». Un restaurant qui redessine au pinceau l’Art Nouveau de Michel Guérard, « remettant Raymond Poincaré aux oubliettes », et dans un décor que le « Cheval Blanc » du Seigneur des Arnault ne renierait pas. Pour lire plus cliquer ici

UNE LARME DE DEUIL

Ce week-end, j’ai ressenti, au travers du cœur de ma muse, son insondable tristesse. Je regardais, comme un photographe, qu’un Dieu moqueur condamne à capturer ce spectre vivant fait de grâce et de splendeur qui peu à peu s’effondre chaque heure un peu plus. Je vois ma rêveuse à l’allure altière plonger dans un désespoir noir, insondable et pourtant lumineuse.

Elle pleure dans son cœur, comme il pleut sur Plouër, de cette pénétrante pluie qui envahit l’âme parfois. Et dans mon corps, qui s’écœure de cette injustice, je regarde ma dulcinée, sans rien pouvoir faire, obligé de contempler celle-ci, si douce, si triste qu’une force invisible sans raison avait emprisonné dans une cage de larmes.Pour lire plus cliquer ici

TY COZ PET A SON AME

Quand les britanniques s’essaient à la crêpe bretonne, c’est comme le « Titanic », mais certainement pas le « King Marie ». Avec un accueil où on vous annonce, « c’est une blague ! » quand vous demandez une table, il semble que passer à la télé n’est pas signe de savoir-vivre, mais nous le savions déjà. Les gens mal élevés se reconnaissent toujours entre eux. Voilà donc la « Perfide Albion », épithète dépréciative se rapportant à ces actes présumés de duplicité et de trahison, tout un programme. Pour lire plus cliquer ici